Interview for Premiere of “Apricity” Accordion Concerto by Labro…
By Patricia Gendrey
Première mondiale d’une pièce d’un compositeur français à Katara
Julien Labro est accordéoniste, compositeur et arrangeur. Son concerto pour accordéon et orchestre – Apricity – sera joué pour la première fois à Katara, samedi 11 avril. Il nous parle de son travail et du concert de cette fin de semaine.
Qatar Actu : Quel est votre parcours ?
Julien Labro : Je suis né en France, dans l’Aveyron, à Rodez. J’ai vécu aux États-Unis pendant une dizaine d’années. Je vis aujourd’hui à Toronto.
J’ai commencé l’accordéon à l’âge de 9 ans en regardant une émission à la télévision qui m’a émerveillé. J’ai suivi un cursus emménagé en musique et des études classiques au conservatoire de Marseille. Cette formation m’a ouvert de nouveaux horizons. J’ai alors découvert le jazz et des artistes comme Charlie Parker ou Miles Davis. C’est devenu une passion. J’utilisais tout mon argent de poche pour acheter le maximum de disques, ce qui a contribué à m’ouvrir l’oreille. J’ai trouvé dans le jazz une liberté que je ne retrouvais pas dans le monde classique. J’ai alors réuni bon nombre d’informations sur l’improvisation, l’histoire du jazz. J’ai découvert d’autres artistes comme Herbie Hancock ou John Coltrane. J’étais fasciné, à tel point que j’ai pris la décision de poursuivre, après le baccalauréat, mes études en Amérique du Nord pour être plus près des sources du jazz.
Review: Beethoven Festival Abounds With Art
Review: Beethoven Festival, Merit School of Music Sept 10, 14, 2013
by Elliot Mandel @Cello_guy
Three quarters of the way through their set of South American music with accordionist Julien Labro at the Merit School of Music Saturday evening, the members of the Spektral Quartet lean back and put down their instruments – violinist Aurelien Pederzoli takes a seat in the front row. Labro begins a meandering improvisation before launching into a rollicking cover of Stevie Wonder’s “Isn’t She Lovely” on solo squeezebox. In a small way, this is the magic of the 2013 Beethoven Festival. The audience – some seated around the quintet, some leaning against the bar, at least one listener lounges in the tepee in the far corner – is entranced by the music and ensconced in floor-to-ceiling artwork.
Wait, why is an accordionist playing Stevie Wonder at something called the Beethoven Festival? Who cares. “Music is music,” said Alban Berg to George Gershwin (thanks Alex Ross). No ensemble in Chicago embodies this idea more than the Spektral Quartet, which regularly programs Mozart, Haydn, and Beethoven alongside the ensemble’s contemporaries such as Marcos Balter and Chris Fisher-Lochhead.
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